« Les fabriques françaises »

Les confinettes, une voix de femme sur notre histoire. Une devinette ludique qui se termine en confidence. 3 minutes de gai savoir richement illustrées, avec des images qui parlent de nous, de notre histoire, passée, présente et à venir

Aujourd’hui nous évoquons les industries…

Si Madame S porte le nom de son mari, le peintre Steinheil, elle a bien entendu son propre nom. Et ce n’est pas n’importe quel nom, c’est celui d’une très grande famille d’industriels français.

Quel est-il ? Peugeot, Bayard ou Japy ?

 

Sans racines l’arbre meurt, nos racines sont notre histoire

Nous sortons la tête de notre nid et nos corps se déconfinent petit à petit.
Il nous faudra du temps pour respirer à nouveau librement, avec ou sans masque, et surtout pour nous retrouver, rêver et voyager, dans l’espace ou dans nos têtes. Sur cette page, I deux fois par semaine, vous trouverez un point de vue qui sort du cadre pessimiste et des marchands de malheur. Regarder aussi de l’autre côté du miroir, du côté des possibles et des bonnes nouvelles.

Pour commencer, en s’offrant quelques minutes de plaisir avec les confinettes, confiseries de l’esprit mêlant devinette et confidence. Trois minutes trente pour plonger dans un moment de notre Histoire, avec un autre regard, pour mieux comprendre les enjeux d’aujourd’hui. Une nouvelle manière de transmettre sans laisser les femmes de côté alors qu’elles ont le plus souvent été ignorées et gommées des mémoires.

Ces « drôles de semaine » d’attente font penser à la « drôle de guerre », quand on craignait le pire sans savoir ce qui allait se passer, ni quand. Alors depuis ce 8 mai, date de l’Armistice, peut-être que nous pouvons aussi faire la paix avec nous-mêmes, avec le monde… Reprendre peu à peu l’espoir que la vie nous sourira et que la nature reprendra ses droits parce que nous la respecterons mieux. Respecter aussi nos racines, notre histoire trop souvent travestie par ceux qui l’écrivent.

Car c’est un fait : sans les femmes, il n’y aurait pas d’humanité. Et pourtant, l’Histoire reste le plus souvent écrite et racontée par des hommes, privilégiant le masculin, le rôle des hommes, leurs désirs et leurs conquêtes.  Lire avec d’autres lunettes notre Histoire, c’est rendre aux femmes leur digne place.  Bienvenue dans l’univers et le blog de Madame S, qui sont aussi les vôtres.

« Le Bazar de la Charité »

Les confinettes, une voix de femme sur notre histoire. Une devinette ludique qui se termine en confidence.3 minutes de gai savoir richement illustrées, avec des images qui parlent de nous, de notre histoire, passée, présente et à venir

Aujourd’hui, vivez de l’intérieur l’incendie du Bazar de la Charité, exemple tragique qui décrypte les ressorts d’une fausse galanterie qui ne résiste pas à l’épreuve du feu.

Les grands rassemblements font peur aujourd’hui à cause du risque de contagion.  Quand il y a foule, la sécurité est doit rester une priorité mais on n’est jamais à l’abri d’un incident ou d’une imprudence.  En mai 1897, l’incendie du Bazar de la Charité provoque la mort de 120 morts dont …115 femmes. Parmi celles-ci une aristocrate de haut rang dont le décès tragique provoque une sidération dans toute l’Europe

Qui était-elle ? Anna de Noailles, Sophie-Charlotte, duchesse d’Alençon?

Le truc en +

Savez-vous qu’au même moment que les Frères Lumière, de géniales pionnières apportent de nombreuses innovations au cinéma comme Alice Guy qui réalise en 1896 le premier film narratif ou Lois Weber qui crée le premier film couleur?

A lire ici https://www.artistikrezo.com/cinema/les-femmes-qui-inventerent-le-septieme-art.html

 

L’alliance franco-russe

Le 16 avril en plein confinement c’était l’anniversaire de Meg Steineil, notre Madame S., mais pas facile de faire la fête et encore moins de recevoir un cadeau Pour nous aérer la tête et nous distraire,  je vous propose de nous retrouver autour d’une confinette, c’est une devinette assorti d’une confidence. La première la voici : quelques semaines après le début de la pandémie, le patron de l’ONU  a demandé que les États en guerre acceptent de mettre fin aux conflits , une forme d’appel pour une paix universelle. La lutte contre la pandémie a déjà permis plusieurs cessez-le-feu alors pourquoi ne pas imaginer, dans le monde l’après pandémie,  de mettre fin aux guerres qui tue certainement plus que le coronavirus ?

Devinette : saviez-vous qu’en 1897 le tsar de toutes les Russies a conclu une alliance avec un personnage politique européen, alliance qui visait ni plus ni moi, que la paix générale général dans le monde. Qui était ce personnage : la reine Victoria, l’empereur d’Allemagne Guillaume II ou le président de la République française Félix Faure ?